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30 août 2022

Ourika, de Gorée au pays des Lumières

Spectacle théâtral et chorégraphique et  marionnettes à taille humaine

Coproduction MDP de Pierre-Bénite

avec l’aide du Ministère de la Culture, de l’ACSE Rhône-Alpes et de la Ville-de-Lyon

Avec Jean-Marie Belmont, Anouk Mialaret, Marie-Angèle Moreno et Raymonde Palcy Metteur en scène Claude Défard

Conseil Aude Pellizzoni  et Jocelyne Durand Son Eric Dupré.

Scénographie et Lumière Hervé Fogeron. Costumes Marylène Richard.

Chorégraphie Anouk Mialaret et Jean-Marie Belmont.

Marionnettes Jocelyne Durand et Marie-Angèle Moreno

Mise à jour 30 08 22

 

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L'Histoire d'Ourika

 L’histoire part d’un fait avéré : en 1786, le Chevalier de Boufflers, gouverneur du Sénégal, offre à sa tante la Maréchale de Beauvau une petite esclave sénégalaise de deux ans. Elle s’appelle Ourika, « elle est  jolie comme la nuit ». La Princesse  l’éduque comme sa fille. Elle la fait accéder à tous les talents d’une jeune fille de la haute aristocratie du temps : peinture, langues étrangères , littérature, danse, vie des salons. Un véritable conte de fée… Mais à l’adolescence, Ourika se rend compte que, Noire, elle reste socialement intouchable, notamment en matière de mariage… et elle en meurt.

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La forme du spectacle

Ourika de Gorée au pays des Lumières est un spectacle «  de tréteaux ».Loin de toute reconstitution. Quatre interprètes d’aujourd’hui choisissent de jouer les aventures d’Ourika et du Chevalier de Boufflers. De manière très revendiquée avec leurs moyens et leur vision actuels.La règle du jeu : quelques axes géométriques sur le plateau, un nombre limité d’accessoires. On n’oublie jamais que c’est en 2010 que nous rencontrons  l' esclave et le gouverneur.

La chorégraphie est historiquement hybride, métissée : c’est une « fusion » 1787 – 2010 ! La marionnette à taille humaine amène une autre vision distanciée et le dédoublement de certains protagonistes ( jeu en miroir comédien / marionnette). Les interprètes jouent successivement tous les personnages. Sans réalisme. Dans une distance qui suscite le questionnement.

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 Les sources de nos recherches

 

* «  Ourika » de Madame de Duras

 Vingt ans après les faits, Claire de Duras raconte l’histoire d’Ourika dans un roman qui, traduit en plusieurs langues, émeut la société cultivée européenne ( Goethe en a pleuré)… mais irrite les colons des Antilles

 * Les correspondances du Chevalier de Boufflers

 Monsieur de Boufflers écrit tous les jours à sa bien aimée Madame de Sabran. Sous le badinage amoureux, il donne des nouvelles politiques et économiques de l’Etablissement français du Sénégal, et de sa vie quotidienne ( y compris les cadeaux de « négrillonnes » et autres « petits maures » qu’il destine à ses amis)..

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 * La lettre de mission de Louis XVI à son gouverneur

 Le roi charge un aristocrate de développer la traite des Noirs, le commerce de la gomme et de l’or, de passer des traités avec les souverains locaux et de développer les comptoirs de la Couronne

 * Traités de danse du XVIII° siècle

 Dans cette société de salons, tout le monde danse…et peut répéter plusieurs semaines un ballet pour une fête, comme des professionnels aujourd’hui. D’où la présence de la danse dans notre spectacle… Image d’une société qui danse sur le volcan.

 et aussi : Madame de Beauvau ; le Chevalier de Bonnard ; Charles Brifaut ; Luís Cadamosto ; Moreau de Chambonneau ; Madame de Chastenay ; Astolphe de Custine ; Madame du Deffand ; Victor Hugo ; Madame de La Tour du Pin ; Louis XVI ; Gaspard Théodore Mollien ; Joseph Mosneron ; Grimod de la Reynière ; Madame de Sabran ; Madame de Staël ; Jean-Jacques Rousseau, Voltaire

 

Mise en perspective historique

 L’esclavage et la traite

 Notre choix de textes balaie l’esclavage  triomphant et sûr de lui, puis sa très graduelle et timide mise en cause. On passe de l’Ancien Régime à la Révolution, puis à la Restauration. La première abolition de l’esclavage échoue. Saint-Domingue se soulève.

 Le statut de la personne, de la femme et de l’enfant

 En ce siècle des philosophes, le statut de la personne humaine, et notamment de l’enfant, à plus forte raison de la fille, est des plus précaires.. De Boufflers peut en toute bonne conscience offrir « une perruche pour la Reine, un cheval pour le Maréchal, une petite négresse pour la Princesse. » Voici qui peut interroger en 2009, année de la célébration du cinquantième anniversaire des droits de l’enfant à l’ONU.

 La colonie … avant la colonisation

 Il n’y a pas encore à proprement parler de colonie, mais un  « Établissement français », une suite assez nébuleuse de comptoirs et d’intérêts, appuyée sur des traités avec les souverains locaux. Le Sénégal, et Gorée, sont les têtes de pont des positions françaises des côtes d’Afrique. Il s’y est développé une société assez opulente autour de quelques envoyés du roi, et des signares, sorte de demi-mondaines métisses locales, qui ont elles-mêmes leurs esclaves.

Les « Lumières et leurs obscurités

 Le destin d’Ourika se dessine sur fond de société des Lumières. De Boufflers lui-même est un encyclopédiste, sur bien des sujets très éclairés et novateur.

 Tout bascule, tout se mélange. Des aristocrates louent  Voltaire, profitent de la traite, s’enthousiasment parfois pour la Révolution naissante, puis s’exilent pendant la Terreur. Un navire négrier s’appelle « Le Contrat social », un autre « Le Jean-Jacques Rousseau » ! Dans les salons, on raconte l’ histoire d’Ourika, on commente le roman de Claire de Duras, on lit les lettres du Chevalier de Boufflers. On étudie les récits des voyageurs pour enrichir les quadrilles des quatre parties du Monde de danses africaines revues et corrigées.

 A croire que le XVIII siècle aurait aussi inventé le double langage …

 

Les arts et lettres en pleine période de transition

La danse et la musique baroques touchent à leur fin, mais ce n’est pas encore le romantisme.

 On continue à lire publiquement dans les salons les correspondances « privées »… écrites, il est vrai, pour être lues dans la bonne société… mais à partir de cette pratique, le roman moderne naît, avec Claire de Duras justement.

.une réflexion

 

Costumes, chorégraphie et univers évoquent l'époque plus qu'ils ne la reconstituent.. Notre propos est  de réfléchir à ce que nous apprend l’histoire d’Ourika :

 -         sur le statut de l’enfant, et de la personne

 -         sur l’identité et sur l’émancipation,

 -         sur la longue histoire de l’esclavage et de la colonisation

 -         sur les contradictions idéologiques de la démocratie naissante au siècle des Lumières

 Le recours à la danse et à la marionnette  nous distancie de la situation décrite. Il  autorise aussi une légèreté, voire une inconscience, qui est celle de ce XVIIIème siècle… et, peut-être, du nôtre.

 

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11 septembre 2011

dossier pédagogique

Nous proposons :

 - des interventions en classe après le spectacle

 - et des pistes à l’usage des enseignants pour préparer les élèves au spectacle lorsqu’ils l’estiment utile ; dossier « Pistes » envoyé à chaque classe partenaire dès le début de l’année scolaire.

 - Nous avons également parcouru les programmes pour pointer les points de convergence avec notre spectacle .

 Quelques thèmes possibles

 - Les Lumières

 - L’esclavage

 - Les débuts de la colonisation

 - Le genre épistolaire et le journal ( correspondance et journal du Chevalier de    Boufflers)

- Le roman et ses personnages (« Ourika », l’un des premiers romans  de langue française)

 - Le théâtre et ses emprunts ( musique, danse )

 Les mythes » exotiques »

 INTERVENTIONS EN CLASSE APRES LE SPECTACLE

 Rencontre avec les élèves dans leur classe

 Le metteur en scène et un comédien rencontre les élèves qui peuvent avoir préparé des questions sur le spectacle qu’ils ont vu.

Cette rencontre peut être très généraliste ( notre spectacle et ses « clés », le théâtre) ou devenir plus « pointue selon les classes et les niveaux ( les genres littéraires présents dans le spectacle, le recours aux diverses techniques du spectacle vivant).

 

Atelier marionnettes à taille humaine

 La marionnette à taille humaine est une marionnette dont la bouche est articulée. Le corps du comédien ( ici de l’élève) devient le corps de la marionnette. Elle permet un jeu de personnage de théâtre occupant l'espace de la scène(manipulation à vue) ; Un double jeu est introduit dans la relation marionnette et marionnettiste. Les élèves ont vu ces marionnettes en action dans le spectacle. Nous leur proposons de les animer à leur tour :

 -         exercices de rythme, de concentration, de mouvements...

 -         exercices de voix, d'articulation, d'expression théâtrale ...

 -         exercices d'improvisation pour imaginer un personnage

 Chaque marionnette a sa propre voix, sa propre façon de parler... Selon le physique de la marionnette et l'imaginaire de chaque élève

Atelier danse découvrir les danses anciennes

 Les deux danseurs du spectacle proposent des séances de découverte des danses du 18ème siècle : Ils font danser les élèves et leur font expérimenter le plaisir de la danse collective. Deux heures consécutives sont préférables (L’atelier est précédé d’une courte représentation et sur les fonctions de la danse dans les sociétés), mais la compagnie cherchera à s’adapter à vos disponibilités.

 Notre spectacle croise les programmes scolaires sur de nombreux points.

 Français 

 Collège

 Cinquième

 Récits de voyage faisant suite aux Grandes Découvertes ;

 Quatrième

 Textes de critique sociale du XVIII°   

 Lycée 

 Le mouvement des Lumières -  Le genre épistolaire -  le journal de voyage –

 Le roman et ses personnages - Le théâtre - Le pathétique  -  L’ironie

 Terminales

 Oeuvre participant à un débat d’idées – Les mythes du « bon sauvage » et de « l’enfant sauvage » -

Le modèle culturel des salons.

 ·       Histoire

 Ecole

CM

A partir des Grandes Découvertes, l’esclavage et  la traite.

Les « Lumières ». L’abolition de l’esclavage de 1794 et son rétablissement en 1802

Collège

Cinquième

Poids de l’histoire en Afrique –

constitution des empires coloniaux

 Quatrième

 Commerce triangulaire - Première abolition de l’esclavage

 · -Révolte de Saint-Domingue - Question des libertés et des droits -

Développement de l’Empire colonial –

Philosophie des Lumières - Code Noir- Fait colonial .

Lycée

 Seconde

 La difficile abolition de l’esclavage - Le tournant de l’époque révolutionnaire -

 La rupture avec l’Ancien Régime - Mise en œuvre des principes révolutionnaires -

Les Droits de l’homme

 Les abolitions

 Terminale  Citoyenneté et esclavage - La colonisation européenne et le système colonial

 Education civique

 tous niveaux : Les droits de l’homme

 

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11 septembre 2011

Christel Mauve - www.lesongedumiroir.com

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11 septembre 2011

L'équipe artistique

Anouk Mialaret                          

Après des études en danse classique et contemporaine, Anouk Mialaret travaille avec la Cie Hallet-Eghayan, la Cie Ardélie à Lyon, la Cie Litécox, la Cie 2000 et une Tentations à Saint-Etienne. Elle découvre le baroque avec Annie Vinot Le Borgne en 1992, et étudie avec F. Lancelot, C. Bayle, B. Massin, A. Yepes à Paris, D. Kiss, A. Christen et  F. Peremboom en Suisse.Elle danse avec la Cie Talon Pointe à Lyon, Côté Cour-Côté Jardin à Genève, Le Roi s’amuse à Paris, avec les Violons de Roy dans la création « Ouverture à la danse » à Porrentruy.Depuis 2004, elle rejoint la JMB Cie pour laquelle elle chorégraphie « Dance et Belle Dance » en 2005, la soirée « A chacun sa Chaconne » avec l’Orchestre d’Auvergne en septembre 2006, « Basses Danses et Belle Dance » à Lyon en décembre 2006, le «Ballo » de Joseph Touchemoulin pour l’Orchestre « Les Inventions » dirigé par P. Ayrton en février 2007, « Les Caractères de la Danse » avec Jean-Marie Belmont en mars 2008. Elle collabore dès 2005 aux projets de la Cie Boréades à Vevey, en Suisse :Elle crée avec Alain Christen la soirée « Musique et Danse Baroque » pour le festival Le Bois qui Chante de Château d’Oex, interprète « Osten-Dresden-Westen » avec la Freitagsakademie de Bern en 2006,  « Le Caroussel du Roy » avec l’Orchestre du Léman dirigé par S. Kuijken à Vevey en janvier 2007, « Orfeo ed Euridice »au Rudolf-Oetkerhalle, à Bielefeld, Allemagne, septembre 2007. Titulaire du D.E. de professeur de danse, elle enseigne la danse contemporaine et la danse baroque depuis 1994 et anime des stages et des ateliers chorégraphiques et  pédagogiques.

 Raymonde Palcy

 1992 Le Sas, de Michel Azama, mise en scène Olivier Maurin *Terres de Déraison, d'après Saint-John Perse, mise en scène Anne-Lise Blanchard - 1993 Amour pour amour ,de William Congreve, mise en scène Sylvie Mongin-Algan - 1994 Signes particuliers, d'après La Misère du monde de P. Bourdieu, mise en scène Alain Timar - 1996 : * La Parole de nuit, de Chamoiseau,  Confiant, G Pineau mise en espace Claude Défard 

* Lettres indiennes, de Gerty Dambury, mise en scène Alain Timar * Hôtel du Nord, mise en scène Alain Besset  - 1997 * Le Cercle de craie caucasien, de Bertolt Brecht, mise en scène Akel Mohammed Akian

* Paroles d'esclaves, d'après James Mellon, mise en scène Alain Besset * Jazz de Toni Morrison, mise en espace Claude Défard - 1998 * La Maison de Bernarda Alba, de Federico Garcia Lorca, mise en scène Philippe Faure. * Frères Volcan, de Vincent Placoly, mise en scène Anne-Marie Lazarini. -1999 Pluie et vent sur Télumée Miraclede S. Schwartz-Bart mise scène Anne-Marie Lazarini -2000  *Un Aigle ébloui par l'étoile, de Jean Thollot, mise en scène Arlette Allain  . * Hilda, de Marie Ndiaye, mise en scène Claude Défard  *Le Black Note, de Tanguy Viel,  mise en espace de Corinne Descote - 2002  * Demain il fera beau,de Denise Domenach Lallich, mise en scène Claude Défard. * Lope de Aguirre traitre,de J. Sanchis Sinisterra,  mise en scène José Manuel Cano Lopez  . * Ruy Blas,de Victor Hugo, mise en scène Arlette Allain. * Othello,d'après Shakespeare,  mise en scène Emmanuel Meirieu -2003 La Revanche des pissenlits,  de Marie Nimier, mise en scène Claude Défard  -2004 * C’est pas pétite affaire, ( huit romanciers africains),mise en scène Claude Défard * Petite Négresse de l’île Saint-Pierre, texte et mise en scène de Claude Défard  * Mélancholia 2, de Jon Fosse, mise en scène Magali Berruet  - 2005 * Et Plus si, d’Emmanuel Darley, mise en scène Thierry Tchang Tchong * Ça t’apprendra à vivre, de Jeanne Benameur,mise en scène Claude Défard - 2007 La Grande Faim dans les arbres, de Jean-Pierre Cannet, mise en scène Christian Sterne, création à Orléans 2008 Anjo Negro, de Nelson Rodrigues, mise en scène Marc Hadjadj, tournée en Guyane 

 Marie Angèle Moreno 

 Formation de comédienne au Théâtre National de Marseille La Criée sous la direction de Jean Pierre Raffaelli. 

Marionnettes Depuis 2002: metteur en scène et marionnettiste de la compagnie Syma  2002 : « La Vie d'Hercule » ; 2003 : « La Sorcière du Placard aux Balais » ;  2004 : « Ana et Sofia » ; 2005:   « Dans ma maison de papier, j'ai des poèmes sur le feu » de Philippe Dorin ;  2006: « Sacré Silence » de Philippe Dorin ; 2007: « La Répétition » ; 2008: « P'tibout au pays des formes géométriques »

comédienne 2001 : « Lagunes » avec la Compagnie Barbara Sarreau. Festivals : Avignon, Uzès, Aix en Provence ; 2000 : « Iniji » Festival de musique contemporaine, Théâtre de la Criée à Marseille ; 1999 : « Cela s'appelle l'Aurore » adaptation d'après le Journal d'un Fou de Gogol et les carnets du sous-sol de Doestoiewsky, CDN de Besançon ; 1998: « Angélo Tyran de Padoue » Compagnie Théâtre 13, tournée PACA ; 1997: « Dialogue ou les autres, la mort et moi » Compagnie Panama Théâtre, Festival d'Avignon ; 1996 : « La Simpafonie des musikaos »,spectacle de rue, Compagnie Panama Théâtre ; 1995: « Monsieur de Pourseaugnac de Molière » Compagnie Panama Théâtre ; 1994: « Max et Moritz » d'après W. Buch, Compagnie Panama Théâtre ;1993: « Adam quoi » d'Armand Gatti. ; 1992: « Cher Diégo Quiela t'embrasse » d'Eléna Poniatowska, Compagnie Panama Théâtre ; 1991 : « La fine Mouche » de C. Goldoni, Compagnie Panama Théâtre ; 1990 : « Fragments d'un discours amoureux » de R. Barthes, Compagnie Panama Théâtre 

films. videos et documentaires  2000: Nikos Kazantzaki (voix off commentaire) France 3 « Un Siècle d'écrivain » ; 1999 : » Le Mystère des tapis »  Arte ; « Les Profits de la Shoa » (voix off commentaire ) Arte ;1995 : « Les Enfants du jug »e réalisé par C. François. France.;

1990 : « Pleine lune à quatre et demi « d'Olivier Dahari (vidèo)

 

Jean Marie Belmont 

 

Il aborde la danse baroque en 1992, à l’occasion des Fêtes Nocturnes du château de Grignan, avec Annie Vinot le Borgne puis étudie avec Francine Lancelot, Christine Bayle, et Ana Yepes à Paris. En danse contemporaine il collabore avec plusieurs compagnies françaises. En baroque, il danse depuis 1994 avec l’Eclat des Muses (Christine Bayle), Cie Danse Populaire Française (Marie Blaise) et Cie Ana Yepes à Paris, Côté cour, côté jardin (Dora Kiss) à Genève,  Cie Talon-Pointe (Véronique Elouard) à Lyon. Pour le cinéma, il tourne dans "L’élève" d’O. Schatzky, "On m’appelle la Valse" de P. Vallois, "Les Destinées Sentimentales" d’O. Assayas, "Le Roi Danse" de G. Corbiau.

Il  chorégraphie pour les spectacles : « Fêtes Nocturnes » du château de Grignan – Grignan - été 1990 et 1991 « Une fête à Venise » avec l’ensemble Arabesco Stravagante - Avignon déc.1998 « Didon et Enée » de Purcell - les Concerts de l’Hostel Dieu - Lyon -1999 « Concert dansé à la cour de Louis XIV » -  Vaison la Romaine - 2001 « Concert de Nouvel An » - Musiques en Fêtes - Chambéry et Montmélian – 2004 « Fantaisie Itinérante » - Sansonha & Vielle – Aveyron, Lozère – 2005 « Bach, Ouverture à la Danse » - Ateliers d’Axiane – Porrentruy, Suisse - 2006

Titulaire depuis 1993 du Diplôme d’Etat de Professeur de Danse, il enseigne régulièrement la danse baroque et contemporaine. Il crée la JMB Compagnie en 2002

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Claude Défard 

 * 1848, La République de Pierre Dupont. 1986 au Théâtre de la Platte à Lyon

* Gens de Harlem, d’après Jazz, de Toni Morrison. 1997 Lyon et 1999 CDR de Martinique

* La Parole de nuit, d’après Patrick Chamoiseau, Gisèle Pineau et Raphaël Confiant.1996 Givors (69), et 1999 théâtre Artistic Athévains Paris

* Hilda, de Marie N’Diaye.2001, scène nationale de Sénart et Centre des Arts et de la Culture de Pointe à Pitre 

* Demain il fera beau, journal d’une adolescente 1939-1944, de Denise Domenach-Lallich.2002 théâtre des Marronniers à Lyon

* La Revanche des pissenlits, de Marie Nimier.2003. Festival Acteurs acteurs de Tours

* C’est pas pétite affaire, 2004 Théâtre des Marronniers lyon, Maison du Peuple de Pierre Bénite 

* Petite Négresse de l’île Saint-Pierre, 2005Festival des Ecritures d’Alfortville, théâtre des Halles d’Avignon, théâtre de Fort de France, festival Afrique d’Aubenas

* Ça t’apprendra à vivre, de Jeanne Benameur, 2006 création à Lyon en novembre 2006 

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